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Retours sur "Louisiana": dans le mille !


Sorti le 12 février 2018, « Louisiana » se porte bien. Les retours sont sans équivoque ; voyez plutôt :

Cet ouvrage « n’est pas ordinaire, […] il ne marche pas sur les plates-bandes de ce qui s’écrit le plus souvent aujourd’hui. Et pour moi, c’est un bon point[1] » me dit le directeur d’une revue littéraire française. Il continue :

« C’est épais et dense, ce qui me plait en général toujours. Même quand ça se passe en plein jour, on a l’impression que c’est la nuit. »

Très belle formule et je lui en suis gré. En ce qui concerne le thème central du livre :

« J’ai plutôt bien aimé la première partie, la plus facile, la plus apparente, celle de votre voyage aux Etats-Unis, et en général, tout ce qui est en prose. Et j’aime beaucoup que vous tapiez sur la société des Etats-Unis car ici, on a tendance à trop l’admirer. »

Restons chez les professionnels ; voici la critique d’un autre directeur de revue et petit éditeur ; Pierre-Vincent Guitard (nom de plume, Penvin). Le site : e-littérature.net Je vous transmets l’ensemble du texte car il a été créé pour la publication :

« Il ne s’agit pas de décrire, de soumettre à qui le lira sa vision raisonnée des choses, Philippe Nadouce, le dit bien : Comme j’aimerais oublier que penser, c’est se fragmenter : c’est précisément briser la narration, les mots déjantés qu’on enfile dans un geste austère : début, milieu et fin. Il ne décrira pas ce qu’il a vu à la Nouvelle Orléans, écrire, c’est dépasser les apparences ; ce texte ne sera donc que la longue interrogation d’un homme qui a honte de ce qu’il a vu. Je n’ai pas personnellement vu la Nouvelle Orléans mais j’imagine très bien pour l’avoir vu ailleurs cet insupportable folklore touristique. Philippe Nadouce quittera la Nouvelle Orléans sans regrets mais nous laissera avec ces fragments révoltés. Il sait qu’elle nous offre la culture pour mieux vous faire oublier sa réalité ; elle est une ville noire hantée par les crimes de l’homme blanc. Bien sûr, l’auteur est sensible à ce folklore, au charme postcolonial ; il pourrait y succomber. Tout pousse aux joies de la crapule éduquée, écrit-il. Mais, il le sait, il s’agit d’une fiction construite et il écrit précisément pour échapper à cet enfermement, ne pas se laisser happer par le folklore que l’on vous montre, mais tenter de comprendre de quoi est fait ce monde, ne surtout pas être de ces intellectuels tournant le dos à un monde en perdition pour se réfugier dans la recherche et l’étude.

Voici maintenant la critique d’un lecteur chevronné, M. Thierry Chazarin, directeur de lycée :

« Je viens vous recommander la lecture de ce bijou littéraire écrit par Philippe Nadouce. Il est publié aux Éditions du Crâne (sic), un charmant éditeur auvergnat. Philippe Nadouce avait écrit les sublimes "Cahiers madrilènes", il y a plusieurs années. Là, il nous surprend par un voyage que je serai tenté de qualifier de philosophique, mais c'est avant tout un voyage, des observations fines et méticuleuses de l'être humain, en particulier lorsque celui-ci est en état de détresse ou au moins en situation de handicap. C'est décrit avec délicatesse, empathie, mais sans langue de bois : le promeneur Philippe capture les moments d'émergence de tous les sentiments contradictoires face à ce qui peut nous être hostile ou nous répugner. Philippe Nadouce est terriblement touchant, son style est très ciselé et chaque récit méticuleux. Vous allez vous régaler ! Je ne vous parle pas des illustrations du livre qui sont exquises. Isa Porta a fait merveille, elle dessine avec une dextérité et une sensibilité qui ne peuvent pas vous laissez indifférent-e-s. Voilà, j'ai tout dit ? Presque tout, car vous y dénicherez des aspects que je n'ai pas évoqués ici. Commandez-le vite sur Amazon ou aux Deux Crânes. Tout ce beau petit monde est sur Facebook, si vous voulez avoir des échanges plus personnalisés avec l'écrivain ou l'illustratrice, entre autres. Bonne lecture ! Revenez ensuite vers moi, pour me dire si vous avez été conquis... ou déçus, mais sincèrement je ne le pense pas. »

Le reste des retours ont été grapillés au cours de conversations, ou me furent rapportés par des amis, par la famille ou des collègues. Il en ressort que l’ouvrage est perçu comme « difficile » et « noir ». J’en suis conscient et ravi. Le but est atteint. Mes éditeurs aussi me dirent avant la publication : « Peu de gens s'intéressent aux poèmes en général […] Et tout le monde ne peut pas goûter à Breton, sous le signe de qui vous vous placez justement. »

L’ouvrage est sorti depuis un peu plus d’un mois. Il a encore beaucoup à dire. Je vous tiendrai au courant des bons et des mauvais retours dans les semaines qui suivent. D’ici là, ne vous privez pas, achetez-le directeur chez l’éditeur si vous habitez hors de France, car Amazon France ne l’envoie pas à l’étranger. Je vous donne ci-après l’ensemble des liens où trouver l’ouvrage.

Amazon UK, Amazon France, Les Deux Crânes (Boutique en ligne de l’éditeur)

Pour toutes nouvelles informations sur mes publications, dirigez-vous vers mon blog littéraire

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